Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Debout la République à Colombey-les-deux-Eglises

21/10/2010 23:31

Debout la République à Colombey-les-deux-Eglises


A l’occasion des 40 ans de la mort du Général De Gaulle, Nicolas Dupont-Aignan se rendra sur la tombe du Général le 9 novembre 2010. Des cars au départ de Paris et de Yerres sont disponibles pour les sympathisants DLR. Vous pouvez vous inscrire au 01 69 49 17 37 et à courrier@debout-la-republique.fr






Commentaire de cimares (02/11/2010 17:10) :

Le jour de la mort de De Gaulle fait partie de ces dates qui vous marquent pour la vie: ceux qui ont vécu ces quelques évenements marquants, comme la destruction des twin towers à New York se souviennent avec une très grande précision où ils étaient et ce qu'ils faisaient au moment de l'annonce de l'évènement. J'étais alors en terminale et me souviens avoir appris dans la cour de l'internat du lycée à Arras la mort du général; il était midi vingt quand nombre d'entre-nous nous sommes précipités devant l'écran de télévision du foyer des élèves pour suivre l'actualité.





Nicolas Dupont-Aignan à Nice

21/10/2010 23:26

Nicolas Dupont-Aignan à Nice


Nice Matin, jeudi 21 octobre 2010

Nicolas Dupont-Aignan, c’est d’abord, l’homme du non. Ou plutôt l’homme des « non » et des ruptures. En 1992 déjà, avec Philippe Seguin, il fait campagne contre le traité de Maastricht alors que la droite RPR-UDF dans sa majorité martèle l’inverse. Sept ans plus tard, rebelote : après s’être prononcé contre la ratification du traité d’Amsterdam, voulue par le Président Chirac, le député de l’Essonne est suspendu de ses fonctions de secrétaire aux fédérations du RPR. Dupont-Aignan fonde alors le club Debout la République, quitte le parti gaulliste pour rejoindre Pasqua et de Villiers qui viennent de lancer le RPF. L’entente ne durera guère. Le jeune parlementaire claque la porte pour se rapprocher de... Jean-Pierre Chevènement, alors exilé du PS. On est en 2001. Depuis, l’ancien chef de cabinet de François Bayrou a cultivé un certain esprit rebelle : en 2002, il se présente à la direction de l’UMP face à Alain Juppé puis contre Nicolas Sarkozy deux ans plus tard.
Pour enfoncer le clou, Dupont-Aignan fait entendre ses différences en appelant à voter « non » lors du référendum sur la Constitution européenne de 2005. Le divorce est consommé : en 2007, il rompt avec l’UMP, convaincu que son destin sera élyséen. En 2012, il sera candidat à la présidentielle, déterminé à « porter la voix de la France libre ». Celle qui dira non à l’Euro, à l’immigration galopante et au chômage. Pour se faire entendre, il va devoir trouver sa place entre le FN, pas si éloigné de ses thèmes de campagne, et le rouleau compresseur UMP.
 
Nicolas Dupont-Aignan : "Les Français sont dans une nasse"
Vous prônez la sortie de l’euro, c’est aussi une des thèses du Front National...
Que le FN dise la même chose que moi, ça ne me dérange pas. Plus nous serons nombreux mieux ce sera.Vous pourriez faire campagne commune avec le FN ?
Non, parce qu’on n’est pas le même parti et qu’on n’est pas d’accord sur tout. En revanche si tous les Français qui veulent la liberté de la France se rassemblent un jour ça fera du monde et nous serons majoritaires.
Comment faire pour qu’une partie de l’électorat UMP n’aille pas vers le FN mais plutôt vers vous ?
Les voix qui partent au Front sortent du jeu politique. Cela arrange le PS et l’UMP, parce que ça stérilise ces voix. Si en revanche elles viennent sur moi qui suis dans le jeu, je pense qu’on peut faire bouger les choses, sans exclure les uns ou les autres.
Pour récupérer ces voix du FN il faut qu’il y ait des différences avec vous. Où sont-elles ?
Je suis pour le rassemblement de tous les Français qui respectent la loi républicaine, et je ne fais pas de différence entre les Français récents et pas récents. Moi je propose une politique, nationale, sociale, républicaine.
Pour porter cette politique, serez-vous candidat à l’élection présidentielle en 2012 ?
Bien sûr, je vous le confirme. Je serai le candidat de la liberté de la France.
C’est difficile de faire entendre sa voix sans être dans un grand parti. Comment allez-vous vous y prendre ?
Comme j’ai commencé. C’était beaucoup plus difficile il y a trois ou quatre ans. Aux Européennes les sondages nous mettaient à 0,5 % et on a fait quatre fois plus. Aux Régionales on nous donnait à 1 %, on a fait 4,5. On va continuer. On y arrivera, parce qu’aujourd’hui les Français commencent à réaliser qu’ils sont dans une nasse.
Vous passerez des alliances, avec Villepin ou Bayrou par exemple ?
Les alliances n’ont de sens que si l’on va aux causes du mal français. DSK, Bayrou ou Villepin au pouvoir ne résoudront rien, parce qu’ils ne veulent pas remettre en cause les données du problème. Je suis le seul à proposer une voie d’indépendance du pays, républicaine, non extrémiste.
Nicolas Dupont-Aignan : retraites, "Sarkozy joue avec le feu"
Face à la radicalisation du mouvement et aux blocages, Nicolas Sarkozy joue la carte de la fermeté. Est-ce la bonne réponse ?
Que le désordre ne s’empare pas du pays, c’est la moindre des choses. Mais il faut s’interroger sur les causes de ce désordre. J’aimerais que le gouvernement, au-delà de ces positions martiales justifiées, s’interroge sur l’importance de cette crispation. Les Français sont prêts à une réforme des retraites. J’ai moi-même accepté le passage à 62 ans au lieu de 60. En revanche, je pense comme beaucoup que le gouvernement, en ne voulant pas négocier sur le passage de 65 à 67 ans, pousse à la radicalisation et joue avec le feu.
Mener à bien cette réforme est quand même courageux de la part de Nicolas Sarkozy...
La réforme des retraites est une posture pour le Président de la République qui veut faire croire qu’il est ferme et pour la gauche qui veut faire croire qu’elle défend le peuple. Ni les uns ni les autres ne s’occupent de la question clé : comment créer un million d’emplois qui permettraient de payer nos retraites ?
Le Président doit-il faire marche arrière ?
Ce n’est pas une question de marche arrière ou de marche avant. Si on veut que la France se remette au travail et que cette réforme soit utile, il faut qu’elle soit juste. S’il y a tant de gens dans la rue, ce n’est pas seulement à cause de la réforme des retraites, c’est en réaction à l’incapacité du gouvernement à regarder en face le phénomène du chômage de masse. Comment voulez-vous que nos concitoyens comprennent comment ils vont pouvoir travailler jusqu’à 67 ans quand le premier boulot est à 30 ans et que vous êtes chômeur à 49 ans. C’est cela, la réalité. Les Français ne sont pas angoissés à l’idée de travailler plus. La vraie question, c’est le chômage.
Quelle sera selon vous l’issue de cette crise ?
Je ne suis pas Mme Soleil. Je souhaite que les casseurs soient interpellés, que la France ne soit pas bloquée. Cette première éruption volcanique qui en annonce peut-être beaucoup d’autres est une crispation politique sans intérêt, c’est un pays qui donne une image déplorable, ce sont des PME, des commerçants, des artisans, des travailleurs qui souffrent. Pendant ce temps-là, on passe à côté d’une catastrophe économique bien plus importante que les grèves : depuis un mois, l’euro a augmenté de 10 %, ce qui veut dire moins 0,4 % de croissance et des dizaines de chômeurs en plus. Mais ça, personne n’en parle.
Si la réforme va à son terme, Nicolas Sarkozy peut-il en tirer un bénéfice électoral ?
Un Président de la République n’est pas un élu comme un autre. Il doit rassembler le peuple français autour d’une grande ambition. Or, depuis le départ, il ne se comporte pas comme un Président de la République. Il dit des choses très justes. J’en approuve certaines et j’ai voté pour lui en 2007. Pour autant, ce quinquennat devient une bouffonnerie. C’est triste.









Croissance, dette et récession

21/10/2010 20:46

Croissance, dette et récession


The Economist a récemment publié un dossier passionnant sur la croissance et sur les moyens de la relancer dans les pays développés. Par-delà des conclusions attendues, l’hebdomadaire fait des constats particulièrement intéressants pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui.
Retour sur la crise
L’analyse de The Economist part d’un constat très simple. Dans l’OCDE, en 2009, les ménages et les entreprises ont économisé l’équivalent de 7.2% du PIB (différence entre leurs revenus et leurs dépenses) et encore 7% du PIB en 2010. Non seulement les ménages se sont mis à davantage économiser (6% de leurs revenus en Grande-Bretagne en 2010 contre 2% en 2008, les chiffres sont comparables aux Etats-Unis), mais c’est aussi le cas des entreprises.
Cela résume le mécanisme de la crise. Les ménages se sont endettés pendant des années, ainsi que de nombreuses entreprises, notamment dans la finance, entretenant une bulle de la valeur des actifs. La bulle a fini par éclater mais sa taille gigantesque a provoqué une telle baisse de la valeur des actifs pour les ménages comme les entreprises que ces derniers ont remonté leur taux d’épargne et diminué leur consommation pour se désendetter dans un climat de crise.
Cette baisse de la consommation a logiquement provoqué une récession aussi violente que l’éclatement de la bulle financière. Mais les Etats ont creusé et laissé se creuser d’énormes déficits pour compenser la baisse de la demande privée et sauver le système financier. C’était le seul moyen de compenser la chute de la consommation des ménages. Ainsi, les Etats ont bien retenu les leçons de Keynes en agissant rapidement pour éviter un scénario comparable aux années 30.
Des années 2000 en trompe l’œil
Du coup, cela donne une autre perspective à la décennie précédente, où les bons élèves étaient les Etats-Unis, la Grande-Bretagne ou l’Irlande. On vantait le modèle anglo-saxon qui alliait des impôts faibles et une déréglementation générale de l’économie. Il faut dire que la croissance de ces pays était plus élevée que celle des pays de la vieille Europe (France, Italie et Allemagne) ou du Japon. Mais la crise a révélé que ces modèles étaient totalement illusoires.
En effet, si l’on se réfère aux chiffres de Jean-Luc Gréau dans « La trahison des économistes », on se rend bien compte que la croissance de ces pays s’est faite entièrement à crédit. La hausse de la dette des ménages représente l’équivalent de la progression du PIB de 1998 à 2008. On peut même se demander si ces pays n’auraient pas simplement stagné économiquement si les ménages avaient conservé le même niveau de dette pendant la décennie.
Quel impact pour l’avenir
Tout ceci révèle qu’il n’y a peut-être pas de modèle de croissance possible pour des pays développés qui ont libéralisé leur commerce du fait de la pression que cela implique sur leur demande interne. En effet, la seule croissance possible se fait à crédit, au prix de graves déséquilibres économiques et de bulles de crédit qui finissent toujours par exploser. En outre, les ajustements budgétaires en cours pourraient bien réduire plus encore le potentiel de croissance pourtant anémique de nos économies.
Mais cela ne signifie pas forcément que nous allons affronter un scénario en W avec une nouvelle récession dès 2011. En effet, à part la Grande-Bretagne, dans la plupart des grandes économies (Etats-Unis, Allemagne, Japon, France), l’ajustement budgétaire est plus doux et ne devrait que légèrement réduire la croissance. En outre, l’augmentation du niveau d’épargne a atteint un plafond (aux Etats-Unis, la baisse de l’endettement du secteur privé fait plus que compenser la hausse du public !).
Du coup, il est probable que le secteur privé baisse son épargne. Ayant déjà retrouvé un niveau de profitabilité comparable à celui d’avant crise, les multinationales devraient pouvoir investir davantage. Et si les classes populaires et moyennes restent prudentes, une augmentation de la consommation des classes supérieures pourraient relancer la consommation (le PIB / habitant a progressé de 10% aux Etats-Unis quand le revenu médian baissait de 4% de 2000 à 2008).
Bonne nouvelle : une récession semble peu probable en 2011 du fait que les acteurs privés ne seront pas plus prudents qu’en 2009 et 2010. Mauvaise nouvelle : la libéralisation des échanges a cassé le modèle de croissance des pays développés.
Laurent Pinsolle





Le gouvernement est à côté de ses pompes

21/10/2010 17:51

Le gouvernement est à côté de ses pompes


En Essonne, il n’y a plus d’essence. Je viens d'appeler le directeur de la station Total de ma ville : il m'a avoué n'avoir aucun interlocuteur et passer ses journées à tenter de joindre quelqu’un pour savoir quand il allait être livré.
Pourtant ce matin encore, Brice Hortefeux minimisait la pénurie en nous expliquant que sur 219 dépôts, il n’y en avait que 14 de bloqués !
De deux choses l’une, soit le gouvernement est totalement dépassé par la situation et - incapable d’organiser une réponse efficace - il joue de fausse fermeté, soit il ne se presse pas pour agir afin de manipuler l’opinion pour la retourner contre les grévistes.
Incompétence ou machiavélisme : dans les deux cas, c’est grave !
NDA
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Le-gouvernement-est-%C3%A0-c%C3%B4t%C3%A9-de-ses-pompes





La République ou le chaos

21/10/2010 17:42

La République ou le chaos


Un pays que ses dirigeants abandonnent à la désespérance sociale ne peut que sombrer dans le blocage et le chaos. Telle est la photographie de la situation.
La réforme des retraites cristallise dans la confusion le ras-le-bol des français contre l’absurdité et l’injustice de la politique économique et sociale suivie depuis trente ans par les gouvernements successifs de droite et de gauche. La “mondialisation” , voulue aussi bien par le PS que l’UMP par leur adhésion sans faille a la politique de l’Union Européenne a appauvri la France. Son industrie se délite, se délocalise, les salaires sont comprimés à la baisse pour s’adapter sans cesse davantage à la loi de la jungle économique mondiale. Il ne peut plus y avoir dans ces conditions de croissance ni de maintien de ce qui faisait l’originalité et l’identité de la France depuis 1945 : un système de solidarité sociale en matière de santé, d’éducation, de retraite. C’est le ciment de la République qui est en cause. Le “néo-libéralisme” , politique voulue au plus grand profit du capitalisme financier, a plongé la France dans l’impasse.
Les arguments pour retarder l’âge du départ à la retraite sont de bon sens au regard de l’évolution démographique et de la hausse du niveau de santé. Mais ils ne valent plus rien au regard du chômage des jeunes et des seniors et face au sentiment justifié que tous les efforts ont été faits pour sauver un système bancaire et financier irresponsable tandis que les français sont laissés pour compte.
Le président Sarkozy et son gouvernement sont en faillite, la pire de toute : la faillite morale.
Ils ont promis de protéger les français contre la crise économique , contre l’immigration clandestine, contre l’insécurité. Ils ont multiplié les discours, les annonces, mais ils ont non seulement laissé faire, mais poursuivi la même politique dont les français ne veulent plus. La “Constitution Européenne”, symbole de la politique ultra-libérale rejetée par référendum, a été adoptée à l’identique au Parlement avec la soutien de la majorité de la gauche. Les effectifs de policiers et de gendarmes ont été rognés partout, la lutte contre l’immigration clandestine est faite d’effets de manche, et les frontières économiques sont restées largement ouvertes à la concurrence déloyale des pays qui produisent à bas coût et où les droits des travailleurs n’existent pas.
Mais la gauche, dans sa majorité, ne vaut pas mieux. Elle n’ a rien d’autre à proposer, elle le sait et les français le savent. Elle surfe sur le mécontentement, n’ayant d’autre objectif politicien que de déstabiliser le gouvernement pour prendre sa place en 2012. Mais elle n’a ni programme ni candidat crédible. C’est pourquoi l’extrême-gauche occupe la scène, la politique ayant horreur du vide.
L’aile dure de la CGT, le NPA sont les idiots utiles du sarkozysme. Car eux aussi ont fait le choix , enfermés dans une idéologie d’un autre âge, de dresser les français les uns contre les autres. La politique du blocage pénalise les plus démunis, exaspère tous ceux qui se battent au quotidien pour vivre , travailler, élever leurs enfants, dans des conditions de plus en plus difficiles, et qui sont pris en otage. La grève est une chose, le blocage en est une autre. Imaginent-ils ce que pense une large majorité des français en voyant des barrages de cheminots et d’enseignants aider à bloquer les réserves pétrolières ? Du coup, le gouvernement se contente d’attendre le retournement de l’opinion et apparaîtra vite à bon compte comme le champion de l’ordre.
Ni les uns ni les autres n’y gagneront. Les seuls a faire des voix en dormant sont les démagogues du Front National. Sarkozy peut désormais faire le calcul d’être réélu en 2012 à la manière de Jacques Chiac en 2002.
La vérité est qu’il n’ y a qu’une seule voie : redonner à la France les moyens d’une vraie politique en rétablissant les frontières économiques et sociales dont elle a besoin pour se redresser. Il faut sortir de l’Euro, redonner à notre pays les moyens de la croissance en taxant les importations déloyales.
Cette politique est possible. Elle est partagée de plus en plus largement, dans tous les tendances de l’opinion, et défendue aussi bien par Debout La République que par les quelques voix courageuses qui restent au sein de feu la gauche.
La République où le chaos : voilà le choix.
 
François MORVAN
Vice-président de Debout la République





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